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Tête commémorative : Homme avec riche parure de perles

Ces têtes servaient au culte royal des ancêtres et étaient placées sur des autels, chacun dans sa propre cour intérieure du palais royal. Elles étaient sacrifiées et recouvertes de sang. Il s'agit de la plus récente des trois têtes commémoratives d'ancêtres royaux de la collection. La qualité artisanale en baisse plaide en faveur de cette hypothèse. D'autre part, les bijoux fixés sur le côté de la coiffe en perles. Ils peuvent être interprétés comme des "ailes", et les appendices qui dépassent vers l'avant comme des serpents. Les oiseaux et les serpents (arc-en-ciel) représentent le lien entre l'ici-bas et l'au-delà céleste. Le roi Osemwede (vers 1816-48) soulignait par de tels ornements les pouvoirs spirituels des rois, dont le pouvoir politique et militaire avait diminué. Ils se sont ainsi stylisés en tant que personnification du dieu de la médecine Osun. Mais avant cela, les rois étaient déjà considérés comme des "êtres divins", et leur tête en particulier faisait l'objet d'un culte de leur vivant en tant que "concentration du pouvoir spirituel et du peuple". Texte de l'article : Dietmar Neitzke.

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Partenaires de données
Linden-Museum Stuttgart Staatliches Museum für Völkerkunde
Affiche uniquement les champs complétés

Données de catalogage

Attribution culturelle
Edo
Type d'objet
Plastik
Dimensions
Durchmesser: 33 cm, Höhe: 55 cm
Matériau/Technique
Alliage de cuivre
Cire perdue
Emplacement
Linden-Museum Stuttgart
Numéro d'inventaire
005379

Provenance et sources

Nigeria

quand
1899
Provenance
En octobre 1898, la société hambourgeoise "H. Bey & Co" a proposé au musée d'ethnologie de Berlin une collection du Bénin envoyée directement d'Afrique. La collection complète ne pouvait cependant pas être achetée dans son intégralité en raison d'un manque de moyens et devait donc être transmise à d'autres personnes intéressées. Felix von Luschan, du musée de Berlin, informa donc Karl Graf von Linden en novembre 1898 et lui proposa un droit de préemption. Le musée Linden mit alors 15.000 M à disposition pour l'achat d'objets. Le prix d'achat fut pris en charge par l'entrepreneur d'Heilbronn Karl Knorr, raison pour laquelle la collection fut également connue sous le nom de "Die Karl Knorr'sche Sammlung von Benin-Alternümern". Von Luschan publia sous le même titre (1901) une description détaillée de la collection pour le compte du comte Linden et de Knorr. Parmi les autres acquéreurs de la collection, on compte notamment les musées de Vienne et de Munich, mais aussi des personnes comme Hans Meyer (Leipzig) et Eugen Rautenstrauch (Cologne). Texte de l'article : Markus Himmelsbach.

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