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Pour ce bien de collections, il manque l’appellation dans la langue d’origine. Si vous connaissez cette appellation ou si vous avez des remarques à faire, utilisez le formulaire pour contacter l’institution qui a communiqué les données.
Ces objets ont longtemps été une énigme. On les a souvent considérés comme des épées de quille ou des rames. Une découverte de l'archéologue allemand Max Uhle à la fin du 19e siècle semble toutefois suggérer qu'il s'agissait de stèles de marquage pour les tombes. Il pourrait également s'agir de bâtons funéraires artistiquement décorés (une sorte de bêche en bois pour la construction de champs), qui servaient exclusivement à des fins rituelles. Les personnes décédées étaient appelées mallki, semence, dans le Pérou ancien. La mort était nécessaire pour qu'une nouvelle vie puisse naître. En ce sens, il y aurait une relation entre la mort et le bâton funéraire, signe de culture, de fertilité et de nutrition. Les épées étaient généralement ornées de représentations sculptées d'oiseaux et de dignitaires religieux. Ces sculptures étaient souvent peintes en rouge.
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Linden-Museum Stuttgart Staatliches Museum für Völkerkunde
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