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Couvercle du récipient | Photographe: Andrea Blumtritt
Pour ce bien de collections, il manque l’appellation dans la langue d’origine. Si vous connaissez cette appellation ou si vous avez des remarques à faire, utilisez le formulaire pour contacter l’institution qui a communiqué les données.
Dickwandiger, schwerer Deckel mit einer hochständigen, plastischen Verzierung. Das konvex gewölbte Objekt gehörte wahrscheinlich zu einem Räuchergefäß, das aus einem Deckel und einer Schale (vergleiche Objekt IV Ca 41338) bestand. Der Deckel besitzt einen trichterförmigen Aufsatz, auf dem sich ein hohles, doppelköpfiges Echsenprotomen befindet. Es hat mehrere kleine Öffnungen und ist über einen Durchbruch mit dem Objektinneren verbunden. Ein Kopf des Wesens wird durch zwei gekrümmte Kämme verziert, die konische Noppen besitzen. Die Keramik wurde beidseitig geglättet, geschlämmt und grundiert. Sie besitzt aufgesetzte und eingetiefte Verzierungen. Ihre Grundierung ist fast vollständig erodiert. An einigen Stellen wird der Austritt von Salzen sichtbar. Das restaurierte Objekt hat mehrere Bruch- und Fehlstellen. Die monochrome Keramik besaß wahrscheinlich eine rote Grundfarbe. Die Außenseite des konkav gewölbten Deckels wird durch ein randständiges Band verziert, das sich aus aufgesetzten Noppen zusammensetzt. Darüber befindet sich ein tiefständiges, umlaufendes Band, das aus einer Doppelreihe gekerbter Eintiefungen besteht. Auf der gewölbten Wand erscheinen vier vertikale Linienbündel, die sich aus aufgesetzten und gekerbten Wülsten zusammensetzen. Das Objekt wird von einem stehenden, echsenähnlichen Wesen beherrscht, das zwei gegenständige Köpfe besitzt. Symbolische Bedeutung: die konischen Noppen können als Alligatorschuppen (Snarskis 1981) oder als Maiskörner (Bischof 1982: 13) interpretiert werden. Echsenähnliche Wesen wurden sowohl im mesoamerikanischen als auch in südamerikanischen Raum verehrt. Im nördlichen Zentralamerika galt die pflanzentragende Erde als Rücken einer riesigen Echse. Rauchwolken wurden als Nahrung göttlicher Wesen verstanden und mit Regenwolken assoziiert. Ähnliche Gefäße dienten wahrscheinlich zum "Regen (Rauch) machen" oder als Opfergaben. In den postklassischen Maya-Kulturen sollten Brandopfer, die zu Beginn agrarischer Zyklen, bei Heilzeremonien oder an schicksalsträchtigen Tagen dargebracht wurden, die angebeteten Götter gütig stimmen. Haberland berichtet eine rezente Legende, nach der im Vulkan Concepción (Isla Ometepe) eine alte Frau leben soll, die sich in eine rauch- und feuerspuckende Echse verwandeln könne (zit. in Bonilla et al. 1987: 129). Zur symbolischen Bedeutung siehe: Oviedo (1945(IV): 136); Schmidt (1966: 431); Thompson (1970: 216-19) und Haberland (zit. in Lange 1971: 157). Nach Lothrop 1926: modeled alligator ware, type A. Kulturelle Bedeutung: die Gruppe wurde während eines sehr langen Zeitraums hergestellt. Die Objekte der Variante dienten als Räuchergefäße. Echsenähnliche Wesen, die einen Kamm am Kopf besitzen, treten in den Gruppen Buenos Aires Policromo (1550-1000d.C.), Cartago Línea Roja (1550-1000d.C.), Altiplano Policromo (1350-800d.C.), Macaracas Policromo (1100-900d.C.) und Conte Policromo (900-700d.C.) auf. (Künne 2004)
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