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Figure en pierre comme frotteur manuel ( ?) | Photographe: Andrea Blumtritt
Pour ce bien de collections, il manque l’appellation dans la langue d’origine. Si vous connaissez cette appellation ou si vous avez des remarques à faire, utilisez le formulaire pour contacter l’institution qui a communiqué les données.
Kleine, zoomorphe Steinskulptur. Das sitzende Wesen scheint eine Raubkatze darzustellen. Sie hat einen großen, runden Kopf, der direkt mit den Schultern verbunden ist. Die leicht nach vorn gebeugte Gestalt besitzt große, runde Augen und einen breiten, geschlossenen Mund. Sie legt ihre Vorderläufe auf den Bauch und zieht die Hinterbeine an den Körper. Die Oberfläche des gut erhaltenen Objekts ist geglättet und leicht poliert. Die Figur verfügt über eine plane Basis, die zur Aufstellung dient. Das skulpturierte Wesen ist auf wenige, diagnostische Elemente reduziert worden. Es besitzt keine individualisierenden Attribute. Der Kopf und die Fortbewegungsorgane der Figur gehen fließend in den massiven Steinblock über. Ihre Ohren und Tatzen sowie der Schwanz wurden nicht markiert. Soziale Bedeutung: Mason vermutet, daß die meisten Skulpturen der Capelladas-Pacayas-Gruppe Lesefunde sind. Er glaubt, daß ähnlich kleine Steinfiguren bei religiösen Zeremonien verwendet wurden (1945: 271, 280). Ihre einfache Form kann eine besondere kulturelle Tradition oder mangelnde handwerkliche Fertigkeiten anzeigen. Symbolische Bedeutung: raubkatzenähnliche Darstellungen sind in Mesoamerika seit dem Olmekischen Horizont (1200-300a.C.) bekannt. Nach Seler (1902-03: 115f., 172) galten jaguarähnliche Wesen (ocelotl) im zentralmexikanischen Hochland als Unterweltdämonen, die danach trachteten die Tagessonne zu verschlingen. In der tradierten Mythologie des südlichen Zentralamerika treten katzenähnliche Wesen als Gestalten der Dunkelheit auf (Salazar 1980: 22; Stone 1962: 173). Sie besitzen verschlingende Qualitäten und werden mit Feuer, Wasser und Steinen assoziiert (Bozzoli de Wille 1979). Die bimorphe Qualität vieler katzenähnlicher Gestalten scheint mit dem Konzept ritueller Verwandlung verbunden zu sein. Kulturelle Bedeutung: die Gruppe wurde zuerst von Lehmann (1913) und Mason (1945) beschrieben. Sie umfaßt kleine, massive Skulpturen, die von den Fundorten Capelladas, Pacayas (beide bei Juan Viñas) und San Isidro de Arenilla (bei San José) stammen. Die Objekte stellen zoomorphe und anthropomorphe Wesen dar, die auf einer planen Basis stehen, hocken, knien, sitzen oder liegen. Sie können vogel-, affen-, katzen-, echsen- sowie männer- oder frauenähnliche Gestalten verkörpern. Die Figuren besitzen einen großen, runden Kopf, ein flaches Gesicht und einen breiten, eingetieften Mund. Ihre relativ kurzen Arme und Beine nehmen wenige, standartisierte Haltungen ein. Die Zeitstellung der Gruppe kann nicht zweifelsfrei bestimmt werden, da ihre archäologischen Kontexte unbekannt sind. Die kaum differenzierten Typen scheinen aufgrund ihrer Gestaltung auf die Periode V (1000-500d.C.) zu verweisen. (Künne 2005)
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