Pour ce bien de collections, il manque l’appellation dans la langue d’origine. Si vous connaissez cette appellation ou si vous avez des remarques à faire, utilisez le formulaire pour contacter l’institution qui a communiqué les données.
Plaque de bronze (fragment) : Homme coiffé d'un tutu en perles,

Le haut bonnet, la collerette, les tresses ainsi que les bandes pectorales du dignitaire représenté ici sont richement décorés de perles. Ces perles étaient fabriquées en pierre, mais surtout en corail rouge précieux. Le corail rouge provenait des Baléares et était importé par les Portugais. Elles étaient travaillées par une corporation d'artisans exclusivement pour le roi et sa cour. La coiffe avec son appendice dirigé vers le haut montre également la puissance spirituelle qui - envoyée par les dieux - peut se déplacer comme une possession à travers cet axe vertical dans le porteur. Texte de l'article : Dietmar Neitzke.

Ce contenu a été traduit automatiquement
Partenaires de données
Linden-Museum Stuttgart Staatliches Museum für Völkerkunde
Affiche uniquement les champs complétés

Données de catalogage

Attribution culturelle
Edo
Type d'objet
Figurenrelief
Dimensions
Breite: 16 cm, Höhe: 31 cm
Matériau/Technique
Alliage de cuivre
Cire perdue
Emplacement
Linden-Museum Stuttgart
Numéro d'inventaire
005387

Provenance et sources

Nigeria

quand
1899
Provenance
En octobre 1898, la société hambourgeoise "H. Bey & Co" a proposé au musée d'ethnologie de Berlin une collection du Bénin envoyée directement d'Afrique. La collection complète ne pouvait cependant pas être achetée dans son intégralité en raison d'un manque de moyens et devait donc être transmise à d'autres personnes intéressées. Felix von Luschan, du musée de Berlin, informa donc Karl Graf von Linden en novembre 1898 et lui proposa un droit de préemption. Le musée Linden mit alors 15.000 M à disposition pour l'achat d'objets. Le prix d'achat fut pris en charge par l'entrepreneur d'Heilbronn Karl Knorr, raison pour laquelle la collection fut également connue sous le nom de "Die Karl Knorr'sche Sammlung von Benin-Alternümern". Von Luschan publia sous le même titre (1901) une description détaillée de la collection pour le compte du comte Linden et de Knorr. Parmi les autres acquéreurs de la collection, on compte notamment les musées de Vienne et de Munich, mais aussi des personnes comme Hans Meyer (Leipzig) et Eugen Rautenstrauch (Cologne). Texte de l'article : Markus Himmelsbach.

Informations sur l'enregistrement

Statut légal métadonnées
Ce contenu a été traduit automatiquement
2.1 / 7.0